750 grammes
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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 16:16



Première édition du Mondial de la Bière ce week-end à Strasbourg. Ceux qui se souviennent  des dernières éditions d'Eurobière regretterons le faste passé, mais l'objectif que s'est donné l'organisation de privilégier les bières artisanales du monde entier est atteint.




Par chauvinisme je me suis surtout attardé autour des stands des brasseries locales qui je dois l'avouer m'ont réservé de belles surprises. En dehors du poids lourd local METEOR qui produit des bières de qualité il y avait également des micro brasseries qui méritent d'être découvertes.




La Brasserie LAUTH de Scharrachbergheim faisait déguster '"l'Eté Indien" Une bière fruitée et désaltérante brassée avec 5 malts et aromatisée aux pêches de vigne et au miel de châtaigne.

Christian ARTZNER , Maître brasseur de la toute jeune brasserie PERLE de Strasbourg, présentait une bière spéciale élaborée pour l'occasion et  baptisée "La Mondiale" puisque brassée avec des épices,des malts et des houblons venant des 5 continents. Le premier brassin de bière PERLE en bouteille pourra être dégusté le samedi 7 novembre prochain de 10 heures à 19 heures au Village de la Bière, 22 rue des Frères à Strasbourg.




Autre coup de coeur, la Brasserie de Lobsann, petite localité située au Nord de l'Alsace tout près de Soultz-Sous-Forêt. Un gamme de bière impressionnante avec des Blondes, des Ambrées, des Blanches et des Brunes, déclinées en version Village, Maison ou Garde selon le degré d'alcool. Tous les échantillons goûtés présentent un équilibre et une finesse extrême, obtenue par de savants assemblages de malts. La production est encore confidentielle mais l'esprit dans lequel les bières sont élaborées me convient parfaitement. J'espère dans un proche avenir vous en parler plus en détails.


Brasserie LOBSANN
4 bis rue Principale
67250 LOBSANN
03 88 80 53 68

Bière Artisanale PERLE
12 rue Aubry et Rau
67000 STRASBOURG
06 89 84 30 41

Brasserie LAUTH
63 route Principale
67310 SCHARRACHBERGHEIM
03 88 50 66 05
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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 07:48



Depuis hier, Vin-Terre-Net est en ligne. Site de pur contenu destiné aux amoureux du vin et de son univers, il est alimenté par une équipe de passionnés à qui je transmets mes félicitations et mes encouragements.

Pas encore de rubrique Alsace mais celà ne saurait tarder.

Nouveau venu également sur le net, le blog de Laurent LALOUETTE consacré aux vins de Loire : Ma Passion des Vins de Loire.

Et puis pour ceux qui ne le connaissent pas encore, bien qu'il soit maintenant en ligne depuis presque un an, le nouveau site du CIVA (Comité Interprofessionnel des Vins d'Alsace).

Sans oublier Nature et Ressenti, le blog de Régis AMBEIS, spécialiste de la géobiologie et de la biodynamie.

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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 20:32




Une autre journée de vendanges, tout d'abord avec Christian BINNER qui rentre ses Pinot Gris de plaine avant d'attaquer les coteaux au courant de la semaine. La situation est extrêmement variable cette année selon les secteurs géographiques. La Hardt de Colmar souffre de blocages de maturité alors que le Nord du vignoble semble bien s'en sortir.




A Dambach-la -Ville, Florian BECK-HARTWEG encadre une équipe de vendangeurs particulièrement dynamique qui semble posséder un répertoire étendu de chansons en tous genres.




A quelques kilomètres de là, Armand LANDMANN rend visite en voisin à Patrick MEYER et c'est dans la cave d'Armand que se termine la soirée autour de quelques bouteilles de Riesling et Sylvaner.



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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 18:00

Marc ANSTOTZ


Bien que nous soyons déjà en automne, l'été n'en finit pas. Il y a bien longtemps que nous n'avons pas eu un aussi beau temps pendant aussi longtemps. J'en profite pour faire une grande ballade à travers le vignoble avec pour objectif d'aller jusqu'à Nothalten et même pourquoi pas de pousser jusqu'à Châtenois.

Tout d'abord direction Bergbieten où les frères SCHMITT décuvent le Pinot Noir. Comme pour beaucoup de leurs collègues, cette opération est souvent délicate car les vignerons alsaciens ne sont pas toujours équipés d'un matériel adapté qui simplifierait la tâche. Alors il faut beaucoup d'ingéniosité et de bonne humeur pour s'en sortir, mais ça marche quand même.


Etienne LOEW


A quelques kilomètres de là, à Balbronn, Marc ANSTOTZ colle les étiquettes de ses cuvées photosensibles qui seront dégustées mardi 29 septembre à 18 heures 30 à la Maison de la Région Alsace à Strasbourg. Il faut saluer cette initiative qui a fait rencontrer le collectif des photographes de Chambre à Part et les vignerons de la Couronne d'Or. En associant la photographie à l'image du monde viticole, les photographes nous invitent à partager l'émotion et les sensation que dégagent les vins qu'ils ont dégustés. Tous les travaux sont remarquables, comme le prouve cet aperçu sur le site de Philippe COLIGNON.


Riesling Kastelberg


Toujours dans Couronne d'Or, Etienne LOEW vendange son Muscat "les Marnes Vertes" issu d'une parcelle située entre Westhoffen et Balbronn. Parfaite vendange de raisins d'une extrême qualité sanitaire qui produiront une fois de plus un Muscat qui s'arrachera aussitôt mis en bouteille.

Après un casse-croûte au sommet du Kastelberg pour profiter du soleil, je rejoins Antoine KREYDENWEISS pour goûter quelques 2008 qui viennent d'être mis en bouteille la semaine dernière. A cette occasion je découvre la nouvelle étiquette qui habillera le millésime 2008, mais je parlerai de tout cela en détails prochainement. Ce qui est certain, mais ce n'est pas une surprise, c'est que le millésime 2008 s'annonce royal.


Antoine KREYDENWEISS


Ensuite, direction Mittelbergheim pour faire un tour de cave avec Jean-Pierre RIETSCH et découvrir les quelques vins du millésime 2009 qui ont été rentrés jusqu'à présent : base Crémant, Muscat, cuvaison de Pinot Noir  en vendange entière et aussi quelques 2008 dont un Riesling non filtré et non sulfité.


Jean-Pierre RIETSCH


Nous retrouvons ensuite à quelques uns chez  Lucas RIEFFEL et c'est ici que se terminera cette belle journée dans le vignoble. Difficile pour l'instant de se prononcer sur le millésime 2009, les jus se goûtent bien sans déviation aromatique et avec des acidités marquées mais sans excès. Le beau temps est annoncé pour encore une petite semaine aussi  je suppose que la semaine prochaine sera animée.


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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 20:40



La semaine dernière ce sont principalement les Pinot Blanc et les Auxerrois destinés au Crémant qui ont été rentrés, pour les autres cépages pas de précipitation. Les premiers Pinot Noir sont en cuvaison comme chez Lucas Rieffel et chez Jean-Marie Bechtold qui ont fait le choix d'inclure un pourcentage respectif de 80 et 30% de vendange entière.

Les jus sont parfaits, précis avec de beaux arômes de framboise pour l'Obere Hund de Jean-Marie, les acidités semblent être au rendez vous mais nous n'en sommes qu'en tout début de fermentation.

Après un mois d'août chaud qui laissait craindre une chute des acidités, la fraîcheur des premières nuits de septembre a rassuré les vignerons. Cependant depuis quelques jours les températures diurnes et nocturnes redeviennent élevées avec en plus un air chargé d'humidité. En une semaine on constate surtout dans les Pinot Gris la présence de foyers de pourriture avec parfois de l'acétique. Il faudra donc être vigilant et peut être ne pas attendre trop pour rentrer les cépages les plus fragiles.

Du côté des Riesling pas de crainte actuellement. Cette semaine les choses devraient s'accélérer, Etienne Loew a en principe commencé mardi.


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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 09:25

Pinot Noir Oberehund

Je reprends avec son autorisation l'article de David LEFEBVRE, publié ce jour dans "l'Est Agricole et Viticole", qui apporte un éclairage intéressant sur le millésime 2009 en Alsace.

 

"A douze degrés d’alcool potentiel, les vignes sont encore bien vertes observent de nombreux vignerons d’Alsace. Ils s’inquiètent  des déséquilibres gustatifs provoqués par le changement climatique entre les dimensions minérales et organiques du vin.

 

Comme les années précédentes, de nombreux vignerons estiment devoir attendre plusieurs semaines encore avant d’arriver à la maturité physiologique, c’est-à-dire une maturité où l’on récolte des grappes mûres, complètement colorées, dont les baies se détachent facilement du pédicelle, dont les pépins sont bien lignifiés.

 

Le problème est que de telles maturités abouties et complètes sont chronologiquement de plus en plus en décalage avec la maturité technologique qui se fonde sur la teneur en sucre et en acide. Pour les gewurztraminers, comme pour les pinots gris, il faut souvent attendre, selon les terroirs et les viticultures, 14° ou plus pour avoir des grappes complètement vérées. Le millésime 2009 n’échappe pas à la règle. De nombreux viticulteurs aimeraient voir leur vigne de parer des belles couleurs automnales quand le pinot ou le gewurztraminer titrent déjà 12° or, elle reste bien trop verte.

 

La vigne, comme la betterave sucrière ou le maïs, produit de plus en plus de sucres, une comparaison physiologique qui n’est pas du goût des amateurs et producteurs de vin de gastronomie, mais qui est une réalité physiologique, et une conséquence du réchauffement climatique et plus précisément de l’augmentation exponentielle de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère. Ce carbone, dont les excès proviennent à l’origine des gisements carbonifères, est séquestré par la plante, grâce à la photosynthèse, sous forme de sucre, de cellulose, etc.

 

Lorsque la maturité physiologique dans les années 70-80 était obtenue vers 11° ou 12° d’alcool potentiel, elle l’est désormais plutôt vers 13,5° ou 14°.

 

La maturité technologique qui tient compte de l’alcool potentiel et de l’acidité renseigne pour sa part sur la quantité des principaux composés carbonés (organiques), acides et sucres, accumulés dans la baie.  Au final, on retrouve ces composés carbonés dans le vin et ils forment l’extrait sec.

 

Pour les vins dont la qualité est construite sur l’extrait sec, ce qu’on nomme aussi la concentration, cette évolution physiologique de la vigne est une aubaine. Plus sucrés, plus riches en alcool, peut-être même plus aromatiques, les vins d’Alsace sont de mieux en mieux perçus sur ces critères de qualité. Et même parfois, ils tournent à l’excès en voyant les débats qui agitent le vignoble sur la sucrosité par exemple. Le vinificateur doit souvent choisir entre des excès d’alcool ou de sucre s’il veut des vins de raisins physiologiquement murs.

 

Sucres, arômes, couleur, tanins, polyphénols constituent ce que les dégustateurs professionnels appellent aussi la dimension horizontale, le corps du vin. Quant à sa dimension verticale, elle reste une notion assez floue. On constate simplement, à rendement équivalent, qu’un bourgogne à mi-côte, sur des parcelles caillouteuses, a plus de verticalité qu’un vin de la plaine, sur sol profond et riche. Cette verticalité, ce squelette, cette persistance finale, ce que certains nomment la minéralité n’a malheureusement pas encore de réalité analytique. Pourtant, deux bourgognes de composition identique en composés organiques, acides, polyphénols, alcool, mais l’un provenant de la côte et l’autre de la plaine, seront goûtés différemment.

 

Quelques études sur les constituants minéraux ont tenté de lever cette énigme gustative de la verticalité, en vain. Les ouvrages œnologiques de référence sont extraordinairement discrets sur le sujet. Une analyse du rapport (cendres – [potassium])/Extrait sec pourrait peut-être renseigner sur cette fameuse minéralité car les sels minéraux contenus dans les cendres confèrent la sapidité, dimension gustative en opposition avec l’insipidité. Le potassium devant être écarté car sa teneur est variable avec le pressurage. Elle est donc plus fonction de paramètres œnologiques que viticoles.

 

Avec l’augmentation de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère, les raisins s’enrichissent en composés carbonés. Une expérience menée à Geisenheim avec des rieslings placés sous cloche d’atmosphère contrôlé en CO2 l’a démontré. Parallèlement, les teneurs en éléments minéraux - qui ne peuvent provenir que des sols - n’ont pas forcément évolué durant ces dernières années. Cependant, des vignerons comme Patrick Meyer s’inquiètent du changement de fonctionnement des sols sous l’effet du réchauffement. Une des conséquences analytiques du changement climatique serait d’observer l’évolution de ce rapport (cendres – [K+])/Extrait sec.

 

Conséquence gustative du réchauffement : les vins ont peut-être gagné en concentration, mais pas forcément en légèreté. On parle alors de vin “bodybuidés” et manquant de squelette (minéraux) pour arriver à un équilibre. Alors des vignerons comme René Muré diminuent leur surface foliaire afin que la vigne “capte” moins de carbone. 

 

La concentration a longtemps été le principal paramètre de notation des vins, notation de type Parker, avec bien sûr, en plus des appréciations sur la précision des arômes, le soyeux des tanins, la douceur des acides, etc. Signalons que ce type de dégustation ne s’attache à noter, à ne qualifier que la dimension organique du vin. Pour ce qui est de sa dimension minérale, les appréciations se résument au mot “minéralité”.

 

Les sels expriment pourtant de grandes différences. Seulement, notre palais n’est éduqué qu’au chlorure de sodium, comme il l’est d’ailleurs au sucre. Pourtant, tous les goûts salés sont dans la nature. Par exemple entre un sel métallique, un sel de sodium, de magnésium, de potassium ou de calcium et de bien d’autres éléments de la classification, présents en quantité infinitésimale mais pas anodine, les salinités sont très différentes, les unes sont douces, les autres agressives, asséchantes. Les cendres représentent dans le vin de 1,5 à 4 g/l, une quantité de sel qui donne forcément plus ou moins du goût et qui ne peut être ignorée."

 

 

David Lefebvre





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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 18:22

Riesling Sussenberg


Le millésime 2009 sera précoce. Les contrôles de maturité effectués ce dernier week-end avec Jean-Marie BECHTOLD dans le secteur de la Couronne d'Or confirment les résultats publiés par l'AVA. Les Auxerrois et les Chardonnay destinés au Crémant affichent déjà plus de 75 oeschlés au réfractomètre et le beau temps qui est attendu laisse envisager d'atteindre les 11 à 11,5° potentiels à la fin de la semaine.

 

C'est la raison pour laquelle les vendanges de l'AOC Crémant d'Alsace sont ouvertes depuis hier. Dans certains secteurs des dérogations ont même été accordées pour commencer la semaine dernière.

 

Les vendanges de l'AOC Alsace sont fixées au 14 septembre prochain. Et si le beau temps continue, il sera largement temps de rentrer les Pinot Noir et les Muscat qui titrent actuellement respectivement 11° et 10,5° car on peut compter un gain d'au moins 1° potentiel par semaine dans les conditions actuelles.



Pinot Gris

La situation sanitaire est parfaite, pas de pourriture, les peaux sont épaisses  et les pépins sont déjà mûrs. Malgré la floraison languissante qui s'est étalée sur presque un mois, les différences de maturité semblent s'être estompées sauf sur les Pinot Gris dont les baies d'une même grappe peuvent montrer de gros écarts. Le même phénomène se constate de façon moins conséquente sur les Gewurztraminer.

Les Riesling du Sussenberg ont été mesurés à 71 oechslés soit environ 9,5° ce qui est parfait à cette époque pour ce cépage plus tardif. Les grappes sont petites et bien aérées sans pour cela qu'il ait été utile d'effectuer des vendanges en vert tant la vigne est parfaitement équilibrée.

Pour de nombreux vignerons du secteur qui vendangaient encore mi novembre l'an passé, l'inter-récolte aura été courte puique tous s'y mettront sous peu.

Le parfait état sanitaire et là charge globalement modérée de la vigne laissent envisager une récolte de qualité. Toutefois il faudra veiller à ne pas perdre trop en acidité car si le millésime 2008 est exceptionnel à ce titre son suivant souffre d'un léger déficit, consécutif aux grosses chaleurs du mois d'août.

 

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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 20:10



Après un hiver froid et long qui s'est arrêté brutalement pour laisser place à un Printemps chaud, les bourgeons sont sortis rapidement et la vigne a fleuri aux environs du 25 mai.

La particularité de la floraison de ce millésime 2009 est qu'elle s'est étalée sur une durée d'un mois au lieu d'une quinzaine de jours habituellement.

Aussi ces derniers jours on pouvait encore voir sur une même parcelle des grappes aux baies de la taille d'un petit pois qui cotoyaient des grappes encore en fleur.

Les nuits froides et les nombreuses averses sont responsables de ce phénomène qui aura pour conséquence de produire des écarts de maturité.

Comme en 2008, cette année le Muscat a coulé et la récolte de ce cépage ne sera pas très importante. Pour les autres cépages, les charges ne sont pas très élevées.

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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 11:04



Le "Teilung" est l'opération qui consiste à couper une grappe en deux. Cette pratique courante chez nos voisins du Palatinat mais aussi en Suisse est effectuée après la floraison quand la grappe est déjà formée.

Méthode alternative à la vendange en vert qui consiste à éliminer les grappes en surnombre sur chaque pied, le "Teilung" a pour double objectif de réduire le rendement en abaissant la charge mais aussi de diminuer l'action du botrytis en décompactant les grappes.

Les cépages de la famille des Pinot qu'ils soient Noir, Gris ou Blanc, en raison de leurs grappes denses et leurs peaux fines sont très sensibles à la pourriture. C'est sur ces cépages qu'une expérience est menée actuellement.

A chaque fois une moitié de la parcelle a été soumise à cette opération, la seconde moitié reste pour témoin. Résultat à suivre dans un peu plus de trois mois.

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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 18:33



Commencé le dimanche 31 mai à midi, le pique-nique vigneron organisé par le Domaine Julien MEYER de Nothalten s'est terminé lundi de Pentecôte au matin. Toutefois, par respect pour leurs familles, je ne donnerai pas les noms des derniers participants.


Badgés dès leur arrivée, les membres du Klub SNMDD ont été soumis à un quizz de 4 vins tirés du fût qu'il fallait identifier. C'est le dernier de la série qui a posé le moins de problèmes puisque à ma connaissance tout le monde a reconnu le Pinot Noir.


Ensuite promenade biodynamique de plus de 3 heures dans le Grittermate et le Muenchberg avec de nombreuses explications sur les méthodes culturales, le travail du sol et l'usage des plantes pour soigner la vigne. Fort heureusement 2 pauses dégustation étaient prévues pour se sustenter, se désaltérer et récupérer de la montée du Muench. Tiens au fait, ça me fait penser que j'ai oublié de poser une question sur la 501...


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